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  • Adapter les soins, apprivoiser l’incertitude : un travail collégial et collaboratif

    "Les décisions prises au décours d’une procédure collégiale ne préjugent pas d’une évolution univoque : elles nécessitent adaptation et humilité."

    Publié le : 09/03/2017 | Auteur : Danièle Lafaye , Cadre de santé Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux / Sylvie Preuilh , Inifirmière Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux / Bernard Paternostre , Médecin Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux

  • Enjeux des limitations et arrêts de traitements sur les médias sociaux

    "Partager sur les médias sociaux les cas de limitations et arrêts de traitements invite, inéluctablement, la société civile à s’emparer de ces sujets, sans pour autant connaître le dossier médical. Au-delà de l’exposition médiatique, l’intervention de la société civile pose un problème de fond : a-t-elle le droit de décider pour le patient, pour les proches, pour l’équipe soignante si le patient doit continuer son traitement ou pas ?"

    Publié le : 17/03/2017 | Auteur : Caroline Tête , Documentaliste

  • Être inventifs d’une éthique engagée

    "Ce à quoi il importe d’être vigilant, c’est au processus contribuant à l’appropriation par chacun – de manière pluraliste, respectueuse de la singularité des expériences et des points de vue – d’une démarche attentive à la perspective éthique d’enjeux à identifier et à reconnaître pour ce qu’ils représentent et constituent avant de tenter de les investiguer et de prétendre formuler, voire imposer, des règles d’action."

    Publié le : 28/06/2016 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Refus de soins : de la confrontation à la négociation

    "Pour préserver une identité fragilisée par l’âge et/ou la maladie, certaines personnes préfèrent refuser tous les éléments qui pourraient révéler une dépendance. Face à ce type de refus, la sécurisation de la personne dans son identité, par la reconnaissance de ce qu’elle est en tant que personne et non en tant que « malade », peut alors faciliter son acceptation. À l’inverse, la confrontation frontale d’un soignant tentant de convaincre de son expertise ne pourra qu’aggraver la situation."

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Aline Corvol , Gériatre, CHU de Rennes

  • Reconnaître la personne dans son identité, ses préférences et ses choix : de l’affirmation intellectuelle aux actes

    "Il est indispensable de donner à tous, professionnels et familles, des repères solides, certaines obligations même, pour assurer à des personnes que la maladie chronique neurologique a diminuées, modifiées, les droits inaliénables dus à toute personne quelles que soient sa maladie et ses atteintes."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Évaluer la capacité décisionnelle, condition nécessaire au recueil du consentement

    "Inscrire le patient au centre de sa prise en charge est essentiel, y compris lorsque des troubles cognitifs l’affectent. Si le recueil du consentement est une pierre angulaire de cette prise en charge, l’évaluation de la capacité décisionnelle l’est donc tout autant."

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Béatrice Le Naour , Médecin généraliste, praticien attaché en psycho-gériatrie, Hôpital Bretonneau, AP-HP

  • Le tragique de l’indécidable

    "Comment consentir à une décision qu’on n’a pas vu venir, qui vient d’ailleurs, quand on n’est plus soi-même, que la compréhension, le discours, la faculté de se projeter sont altérés ? Comment, dans notre société qui érige en valeur culte le principe d’autonomie, exiger, quand celle-ci décline, une réflexion, une délibération et un accord, même tacite, à un projet qui n’a jamais pu être pensé ? Faut-il continuer à rechercher ce consentement ? Faut-il y préférer un assentiment plus tacite et passif ou un choix éclairé ?"

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Véronique Lefebvre des Noettes , Psychiatre du sujet âgé, docteure en philosophie pratique et éthique médicale

  • Fin de vie : l’épreuve du sens

    "L'agonie peut avoir du sens si elle permet à celui qui meurt de terminer son chemin comme il l'entend ; elle a du sens dans ce qu'elle permet de dire qui n'a jamais pu l'être, de vivre jusqu'au bout de la vie, de penser ces instants comme les derniers : ceux qui vont permettre d'apprivoiser l'absence quand le chagrin se fera moins envahissant."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Geneviève Demoures , Psycho-gériatre, chef de service, Le verger des Balans / Luc Rivière , Responsable de l’USP et de l’EMASP, Centre hospitalier de Périgueux

  • Reconnaître et préserver les capacités décisionnelles de la personne dans les maladies neurologiques dégénératives évolutive à impact cognitif

    "La seule présence de troubles cognitifs ne permet pas de conclure à l’incapacité. Quand ces troubles sont légers, comme au début de la maladie d’Alzheimer, ils n’empêchent pas forcément de prendre des dispositions en connaissance de cause. Les troubles du comportement sont cependant aussi, bien sûr, à prendre en compte."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Laurence Hugonot-Diener , Psychogériatre, Hôpital Broca, AP-HP, consultation mémoire CMRR Paris-Sud et à Mémorys (réseau Alzheimer du sud Parisien)

  • L’urgence de la compassion

    Doit-on, parce que les moyens le permettent, entreprendre en toutes circonstances des gestes réanimatoires ? Ce pouvoir par la technique et le savoir impose-t-il de faire ou pas ? Comment peut-on interrompre sans abandonner ?

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Florence Deciron-Debieuvre , Médecin urgentiste, chef de service SAMU 72 SMUR CESU

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