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  • Le principe de la décision opératoire en chirurgie orthopédique

    Ce texte est le fruit de la relecture d'une pratique professionnelle de chirurgien orthopédiste exercée depuis 20 ans au sein d'un hôpital universitaire. L'objectif est d'ébaucher, à distance des grands concepts philosophiques, les modalités pratiques de la " navigation à vue " effectuée lors de la consultation préopératoire dans le but de faire mûrir une décision réfléchie concernant la pertinence d'une intervention.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Olivier Gagey , Service d’orthopédie et traumatologie, CHU Bicêtre, AP-HP, Département de recherche en éthique Paris-Sud11/AP-HP

  • Les incertitudes liées à l’annonce anténatale

    "L’annonce est ici particulièrement lourde de conséquences puisque, à l’issue de certaines de nos découvertes, une vie sera maintenue ou interrompue. Nous sommes dans le contexte d’un savoir qui permet de prévenir et de décider. Il y a là une différence fondamentale entre, par exemple, « attendre » un enfant atteint de trisomie 21, et « avoir » un enfant atteint de trisomie 21."

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Jean-Philippe Legros , Psychologue, psychanalyste, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, AP-HP

  • Questions éthiques posées par l'arrêt Perruche

    Analyse de l'arrêt de la Cour de cassation en faveur d'une indemnisation pour handicap de naissance par le Groupé de réflexion éthique de l'Association des paralysés de France. Quelles questions éthiques cet arrêt implique-t-il ? A quoi ouvre-t-il la voie et, de façon aussi importante, que n'est-il pas ?

    Publié le : 07/08/2003 | Auteur : Groupe éthique de l'APF

  • Les gestes invasifs et la chirurgie à utérus ouvert

    "Toute parole médicale concernant une imperfection de l'enfant à naître est potentiellement létale. Si elle est transmise sans espérance, elle conduit à une demande d'interruption médicale de grossesse. C'est à ce moment que le médecin doit justifier auprès des parents les soins que nécessite le bébé à naître. Dans ces circonstances, il doit en parler dans tout ce qu'il a de normal, de bon, de positif et ne pas le réduire à son imperfection, à son anomalie."

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Claire Nihoul-Fékété , Chef du service de chirurgie infantile, hôpital Necker - Enfants Malades

  • L'originalité du débat belge sur l'euthanasie

    Retour sur le débat autour de la légalisation de l'euthanasie en Belgique, avec un exposé des différentes positions et arguments politiques, sociétaux, culturels, religieux ou philosophiques

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Mylène Botbol-Baum , Professeure de philosophie et bioéthique, facultés de Médecine et des Sciences Philosophiques et Professeure à l'Unité d'éthique biomédicale UCL (Université Catholique de Louvain), Bruxelles

  • Tous égaux dans la souffrance : la position des Pays-Bas en matière d'euthanasie

    "La loi [sur l'euthanasie aux Pays-Bas] n'offre aucune solution aux personnes qui souffrent de façon insupportable et sans perspective d'amélioration mais qui, pour différentes raisons, n'entrent pas dans son champ. Je veux parler des nouveau-nés souffrant de malformations graves, des patients atteints de psychoses inguérissables, des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer qui, de par la nature même de la maladie, sont considérées comme incapables d'exprimer leur volonté et par là même, exclues du champ de la loi. Une autre catégorie de personnes est venue s'ajouter à cette liste, je veux parler des personnes très âgées qui estiment avoir suffisamment vécu. N'est-il donc pas possible d'envisager une forme satisfaisante d'interruption de la vie pour ces personnes?"

    Publié le : 02/02/2006 | Auteur : Else Borst-Eilers , ancienne ministre de la Santé, du Bien-être et des Sports (de 1994 à 2002), vice-présidente du Conseil de la Santé (de 1985 à 1994) et de la Commission Remmelink

  • Des soignants extrémistes de l'extrême

    "Soigner un patient en état végétatif persistant, signifie forcément se questionner sur des concepts existentiels qui prennent alors toute leur réelle dimension. D'où la nécessité d'une réflexion partagée au sein de l'équipe et de l'organisation d'un espace de parole. La réflexion se doit d'être insufflée par le cadre infirmier et le médecin responsable de l'unité de soins. Elle repose sur des valeurs partagées par les membres d'une équipe pluridisciplinaire."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Marie-Christine Guénin , Cadre supérieur infirmier, hôpital Maritime Berck, AP-HP

  • Décision et consentement dans la greffe allogénique de cellules souches hématopoïétiques

    Tout au long du déroulement de la greffe et du suivi ultérieur de l’enfant qui peut être lourd et long ces temps successifs : décision médicale, information, et consentement vont se renouveler. De leur qualité dépendra en grande partie la confiance que la famille accordera à l’équipe de soins.

    Publié le : 22/07/2003 | Auteur : Hélène Espérou , Directrice du Projet médico-scientifique et de la Qualité d'UNICANCER

  • Greffe de moelle en pédiatrie : communiquer et transmettre l'information médicale

    Les réflexions et questionnements qui suivent ont été élaborés par un groupe de médecins impliqués dans la greffe de moelle, greffeurs pour la majorité d'entre eux, au cours de trois réunions préparatoires au colloque : Aspects et enjeux éthiques de la greffe de moelle en pédiatrie. Elles prennent leur source dans l'expérience quotidienne des participants et ont été confrontées à des textes juridiques de référence

    Publié le : 22/07/2003 | Auteur : Michel Duval , Service d’hémato-oncologie, hôpital Sainte-Justine, Montréal

  • Hospitaliser sur demande d’un tiers ? Une mise à l’épreuve des valeurs éthiques du médecin

    "Les connaissances et l’expérience du praticien sont bien sûr en jeu dans la décision d'hospitalisation sur demande d'un tiers, mais il faut reconnaître aussi que les domaines d’ignorance du praticien le sont tout autant. Se poser la question de savoir avec quoi on délibère, c’est vouloir réduire les risques de décider avec des impressions alors qu’il serait peut-être possible de fonder l’acte sur une démarche plus argumentée.

    Publié le : 08/01/2007 | Auteur : Georges Berthon , Psychiatre, praticien hospitalier

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