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  • Jusqu’au bout, l’exigence de liberté s’impose

    Publié le : 18/11/2008 | Auteur : Roselyne Bachelot-Narquin , Ancienne Ministre de la Santé et des Sports

  • Le droit à la nutrition : émergence d’un droit de l’Homme pour la pratique soignante

    Publié le : 16/12/2008 | Auteur : Pascal Crenn , Praticien hospitalier, Hôpital Raymond Poincaré, AP-HP et Université de Versailles, Département de recherche en éthique Paris-Sud 11

  • Éthique et handicap : enjeux de fraternité

    Publié le : 31/07/2009 | Auteur : Anne Dupuy-Vantroys , Diplômée de l’Espace éthique IDF

  • Mourir dans la rue

    Les « morts de la rue » sont ces personnes mortes d’avoir vécu à la rue, après un, deux ou dix ans de galère. Pour au moins les deux tiers, en 2008, ils sont morts dans la rue ou un abri précaire, les autres dans un hébergement, une chambre d’hôtel, à l’hôpital. Pourquoi ce caractère insolite pour une réalité qui est bien là, surtout sur le terrain dont il s’agit : la rue ?

    Publié le : 06/11/2009 | Auteur : Cécile Rocca , Collectif Les morts de la Rue Collectif Les Morts de la rue / Bernard Sarrazin , Collectif Les morts de la rue Collectif Les Morts de la rue

  • Lorsque la parole de la loi banalise la violence

    Notre droit apparaît singulièrement démuni contre les actes de maltraitance envers les personnes vulnérables. Il existe certes une nébuleuse d’infractions diverses pouvant trouver à s’appliquer mais elles saisissent difficilement la réalité de ce type d'abus, et un grand décalage existe entre la loi d’une part et les Recommandations de bonnes pratiques et chartes éthiques.

    Publié le : 12/12/2011 | Auteur : Benjamin Pitcho , Avocat à la Cour (Paris), ancien membre du Conseil de l'Ordre, Cabinet Benjamin Pitcho / Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Une éthique de la maraude

    Publié le : 20/10/2008 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Autopsie - À la recherche de la vérité

    En quoi la médecine légale, notamment l'autopsie, contribue-t-elle à respecter et à promouvoir les droits des personnes ?

    Publié le : 30/09/2013 | Auteur : Jean-François Michard , Médecin légiste à la Direction Nationale de la médecine légale de Suède

  • Porter en imagination, voire en utopie, de nouvelles idées

    "[Les débats dont se saisiront les Espaces éthique régionaux] doivent naturellement être orientés sur les choix possibles pour lesquels la philosophie, les sciences humaines et sociales et le droit sont interpellées et appellent un travail multidisciplinaire effectif sous tendant le respect des postures de chacun et l’ouverture vers des avancées épistémologiques de chacune des disciplines participantes."

    Publié le : 12/02/2014 | Auteur : Christian Hervé , Professeur des Universités en médecine légale et droit de la santé , Directeur du Laboratoire d'éthique médicale, de droit de la santé et de santé publique de la faculté Necker-enfants Malades

  • Du procès au code de Nuremberg : principes de l’éthique biomédicale

    L’importance du Code de Nuremberg conçu pour juger les crimes commis par des médecins sur des déportés tient à ce qu’il a constitué le point de départ de la prise de conscience des dangers des progrès de la science avec les dérives qu’elle peut susciter, et de la nécessité de l’encadrer par un certain nombre de règles.

    Publié le : 19/05/2014 | Auteur : Bruno Halioua , Inserm, Département de recherche en éthique Université Paris-Sud-Paris-Saclay, auteur de Le procès des médecins de Nuremberg, Toulouse, érès, 2018 (réédition)

  • Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : rupture ou continuité ?

    "La loi du 22 avril 2005 poursuivait principalement deux objectifs[11]. Elle proscrivait l’obstination déraisonnable et avait institué une procédure collégiale et transparente des arrêts de traitement. Peut-on considérer dès lors que ces choix ont été remis en cause par la loi du 2 février 2016 et que la philosophie qui l’animait a été abandonnée? Dans un domaine qui admet peu les raccourcis simplistes et les raisonnements binaires, cette question appelle une réponse nuancée."

    Publié le : 18/05/2016 | Auteur : Yves-Marie Doublet , Chargé d’enseignement en droit, Département de recherche en éthique, université Paris Sud

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