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  • Radiothérapie en phase palliative

    "Si la radiothérapie est un traitement spécifique du cancer, elle constitue aussi un traitement symptomatique, avec pour visée d’améliorer les conditions quotidiennes de la fin de la vie. Il est question de donner un sens pratique, à court terme, à ce qui est proposé, qu’il s’agisse de traiter ou de ne pas traiter."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Thibaud Haaser , Médecin radiothérapeute, CHU de Bordeaux ; doctorant au Département de recherche éthique, université Paris Sud

  • Fin de vie en hématologie

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Sandra Malak , Hématologue - Pôle d'Oncologie et de Médecine Nucléaire, Hôpital Saint Antoine

  • Soins palliatifs en pédiatrie : paradoxes et questions éthiques

    "Il est impressionnant d’entendre les enfants nous confier leurs parents, nous remettre des objets symboliques avant leur décès. La synthèse de ce soin ainsi construit est qu’une confiance surgit toujours plus grande entre tous les membres de cette équipée même si la mort guette le moindre faux pas."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Alain de Broca , Neuropédiatre, Service UMICA, Unité mobile pédiatrique, Équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques Picardie, CHU d’Amiens

  • Fin de vie en oncologie pédiatrique

    "La désignation des traitements comme palliatifs peut [‚...] s’introduire très en amont du décès des enfants, lorsque plusieurs types de traitements oncologiques sont encore accessibles, amenant à reculer de plusieurs mois voire de plusieurs années la fin de la vie."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Franck Bourdeaut , MD, PhD, INSERM U830 & Département d'oncologie pédiatrique, Institut Curie, Paris

  • Dédramatiser l’approche des soins palliatifs

    "Ce qu’elle ne comprend pas, c’est pourquoi, puisqu’on lui avait proposé du confort, elle retrouvait sa mère, lors des courts moments de visites autorisées, agitée et ligotée dans son lit ou encore avec les restes, sur sa chemise de nuit et sur ses draps, d’un café renversé sur elle quelques heures avant."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Vianney Mourman , Médecin, équipe mobile de soins palliatifs, Hôpitaux universitaires Saint-Louis, Lariboisière, Fernand Widal, AP-HP

  • « La mort peut attendre »

    "Le médecin ne se trompe jamais en s’engageant dans cette voie. Dans tous les cas, soulager est un impératif non négociable. On soigne."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Maurice Mimoun , Service de chirurgie plastique reconstructrice, hôpital Saint-Antoine, AP-HP

  • Les conditions d’une fin de vie digne et apaisée

    "À côté de la mort redoutée, l’indifférence à la mort est plus rare. Dans notre jargon, c’est le syndrome de « glissement » : des personnes souvent âgées et seules ont décidé de se laisser mourir, en opposant une passivité totale aux agressions des maladies et des traitements."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Laurent Beaugerie , Gastro-entérologue, Praticien Hospitalier à l’AP-HP, Professeur des Universités à Paris 6, membre du Conseil National des Universités et vice-président de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie

  • Faire ce qu’il y a à faire

    "Quelques jours plus tard, un lundi matin, je suis rappelé au domicile de monsieur M. Sa femme me dit qu’il refuse de s’alimenter depuis trois jours, tout juste accepte-il de boire. Son état général s’est terriblement aggravé. Visiblement il a décidé d’en rester là."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Bruno Fron , Médecin généraliste, Paris

  • Mourir chez soi

    "Petit à petit l’espace s’est rétréci et le temps s’est allongé, comme pour se mettre à disposition de la mort et lui préparer la place. Chez soi, dans cet espace si intime, on attend la grande inconnue : la mort."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Catherine de Brabois , Directrice de SSIAD, Paris, doctorante, Espace éthique/IDF, université Paris Sud

  • « Il y a des morts à chaque fois que les mots deviennent petits »

    "Aujourd’hui, la puissance dévastatrice du verbe de certains lobbies, relayée à longueur de journaux télévisés et de débats orientés, dans un magma de mots confus et petits où se retrouvent des termes ambigus que chacun évite soigneusement d’expliciter, a fait son œuvre. Celles et ceux qui accompagnent l’être aimé dont la vie est suspendue à la compétence médicale et à l’usage d’appareils, ne savent plus si cette compétence sera mise au service de la vie ou de la « mort douce » dans un sommeil dit prolongé"

    Publié le : 19/01/2015 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

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