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  • Les soignants face aux demandes réitérées de mort

    Que signifient les demandes de mort réitérées adressées aux soignants, aux infirmières comme aux médecins ? Comment les comprendre et les prendre en charge, comment y répondre et d'où émanent-elles réellement ? De la société, de la personne elle-même, de la famille ou l'entourage, de l'équipe ou du soignant ?

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : René Schaerer , Unité de concertation et de recherche pour le traitement des affections cancéreuses, CHU de Grenoble

  • Euthanasie et sédation : de la maîtrise à la compréhension

    Désolidariser la demande d’euthanasie ou la sédation d’une réflexion globale sur la fin de vie conduit inéluctablement à un excès de simplification. Réduire cette réflexion, refuser d’entrer dans ses méandres, ses contradictions, ses implications historiques, sociales, morales, conduit rapidement à valider des attitudes contestables. L’objet de notre propos vise à présenter au médecin quelques bases permettant de mieux appréhender les problématiques de la fin de vie, selon une approche de médecine palliative. Introductif, à défaut de fournir des réponses définitives, il invite le lecteur à poursuivre sa réflexion.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Michèle-Hélène Salamagne , Médecin, ancien responsable d’une unité de soins palliatifs / Sylvain Pourchet , Médecin (Paris), ancien responsable de l’unité de soins palliatifs de l’hôpital Paul Brousse (AP-HP) et du Diplôme Universitaire d’accompagnement et soins palliatifs de l’université Paris Sud

  • Violence et solitude dans l'expérience des fins de vie qui se prolongent

    "Nous nous heurtons à un paradoxe qui dérange : en tant que membres de la famille, proches ou soignants, nous ne pouvons que souhaiter qu'un patient ne souffre pas, qu'il éprouve le moins d'inconfort possible, qu'il n'ait plus ni douleur physique, ni douleur morale ; mais comment ne pas être désorientés, désemparés, si nous ne savons plus ce qui soulage, ce qui fait du bien au patient ?"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Silla Consoli , Unité médico-psychologique, hôpital Broussais, AP-HP

  • La négligence est-elle une violence ?

    L’homme moderne s’est libéré de ces liens nécessaires au sein d’une communauté comme on casse une chaîne. Ce n’est plus l’individu qui est au service du groupe mais le contraire. La collectivité s’est mise au service du bien-être individuel. Mais si l’individu moderne n’est plus lié aux autres, il lui est toujours possible de ne pas vouloir s’acquitter de sa dette.

    Publié le : 16/11/2005 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • Vivre avec un handicap, qu'en est-il d'une vie acceptable ?

    Réaction autour de l'arrêt "Perruche" rendu par la Cour de cassation autour d'une réparation attribuée à un enfant né polyhandicapé sur base de préjudice.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Annie Barrois , Neuropédiatre, hôpital Raymond-Poincaré, AP-HP

  • L'information donnée aux patients douloureux

    "On en arrive alors à chercher un sens à la douleur. Mais bien souvent c'est plutôt dans le combat contre sa propre détresse ou sa déchéance, dans la remise en cause de ses valeurs habituelles que le patient va chercher à raisonner, ce qui pour beaucoup demeure une absurdité."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Claire Vulser-Cristofini , Service d’anesthésie-réanimation, hôpital Broussais, AP-HP

  • Le problème difficile de l'attribution des greffons issus de patients décédés : exemple de la greffe de foie chez l'adulte

    Le nombre de candidats à une greffe hépatique n’a cessé d’augmenter, alors que le nombre de greffons n'a pas augmenté dans les mêmes proportions. Cette inadéquation pose la question d’une juste répartition de ce bien rare, une particularité de la greffe hépatique étant l'absence de suppléance artificielle.

    Publié le : 02/09/2010 | Auteur : Serge Duperret , Praticien hospitalier, Service de réanimation chirurgicale, HCL, Lyon, docteur en éthique, Université Paris-Sud - Paris-Saclay

  • Les défis posés par les maladies rares

    Dans le domaine de la maladie rare, la dictature du diagnostic est immense. Les malades en attendent la confirmation de leur maladie qui, tant qu’elle n’est pas objectivable dans leur corps est toujours entachée du soupçon de siéger dans leur âme.

    Publié le : 09/09/2010 | Auteur : Olivia Gross , Présidente de l'association française des dysplasies ectodermiques, présidente de la Fédération des Maladies Orphelines (2005 à 2009)

  • Le temps du soupçon

    Réflexion sur le temps du soupçon de la maladie grave, avec toute l’inquiétude qu’il comporte et la possibilité qu’il ouvre à une préparation psychique pour faire face à la violence de l’annonce du diagnostic.

    Publié le : 02/09/2010 | Auteur : Marcela Gargiulo , Docteur en Psychologie, Fédération de Neurologie, groupe hospitalier Pitié- Salpêtrière, AP-HP

  • Reconnaître l’autre

    Publié le : 12/06/2009 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

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