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  • Le suicide assisté, une notion archaïque

    Publié le : 11/02/2011 | Auteur : Didier Sicard , Président d’honneur du Comité consultatif national d’éthique

  • Le regard sur les professionnels en EHPAD : entre idéalisation, admiration, culpabilisation et stigmatisation

    "Il s’agit d’une spécificité très soignante ; jamais l'on ne dirait, par exemple, d'un garagiste qui répare mal une voiture, que c'est un mauvais homme, l'on s'arrêtera au mauvais garagiste. Il peut s'en sentir blessé mais il pourra se rattraper dans d'autres domaines. Qu'en est-il par contre du soignant à qui l'on renvoie qu'il est inhumain ?"

    Publié le : 13/06/2016 | Auteur : Jean-Luc Noël , Psychologue Clinicien, Paris, Co-président du conseil scientifique de l’association Old Up, Psychologue référent de l’association ISATIS

  • Le don de gamètes : anonymat et éthique du don

    Publié le : 07/03/2011 | Auteur : Angèle Sansonetti-Lucas , Psychologue clinicienne

  • Le diagnostic précoce dans le cadre de la médecine d’anticipation

    Intervention inaugurale, 1er Forum Éthique de la recherche, maladie d’Alzheimer et maladies neuro-dégénératives (MND), Caen, 2 juin 2016, organisé par les Espaces de réflexion éthique de Normandie avec l’Espace national de réflexion éthique MND.

    Publié le : 06/06/2016 | Auteur : Michel Clanet , Président du Comité de suivi du Plan maladies neurodégénératives / Joël Ankri , Professeur de santé publique et de gériatrie, chef de service, Sainte Périne, AP-HP, membre du Comité de suivi du Plan MND

  • La volonté de se soigner

    Si la personne entrant dans la maladie devient "double" (personne passée et personne dont le devenir est troublé par la maladie), se pose alors la question de la décision et du "courage de se soigner". L'auteur pose la question de la volonté de guérir, du manque occasionnel de cette volonté (quelles en sont les causes ?) et de la question, métaphorique, de la réunification de la personne double.

    Publié le : 13/01/2009 | Auteur : Gérard Reach , Professeur de médecine, endocrinologue, Hôpital Avicenne, AP-HP

  • La violence institutionnelle en gériatrie : engrenage inévitable ou nécessaire prise de conscience ?

    L’autre, le malade, l’objet de nos soins est sujet lui aussi, tout comme nous, il entre en action de relation, face à nous. Nous avons souvent choisi ce métier pour ce face-à-face idéal. Pourtant il suffit de passer de l’autre coté du miroir, d’être malade pour éprouver que ce face-à-face n’est pas égalité, qu’il est en fait un jeu de pouvoir.

    Publié le : 24/06/2013 | Auteur : Monique Saffy , Cadre supérieur infirmier, la Collégiale, ancienne coordonnatrice du Groupe Miramion Violences en institution

  • La valeur de l’humain

    "Rien n'est plus fragile et ne doit être plus préservée que la vie d'une personne qui ne peut être compensée par aucun bien matériel ou aucune richesse. Pourtant, lorsque seule la vie biologique persiste et que cette survie n'est obtenue que grâce au maintien artificiel des fonctions vitales, l'action médicale est-elle raisonnable ?"

    Publié le : 12/06/2009 | Auteur : Jean Léonetti , Médecin cardiologue, Député

  • La tolérance suffit-elle ?

    Texte de l'intervention de Paul-Loup Weil-Dubuc lors du Forum Valeurs de la République, du soin et de l'accompagnement du 16 mars 2016

    Publié le : 18/03/2016 | Auteur : Paul-Loup Weil-Dubuc , Responsable du Pôle Recherche, Espace de réflexion éthique Ile-de-France, laboratoire d'excellence DISTALZ

  • La sédation n’est pas un remède miracle

    Communication à l’audition publique organisée par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, le 20 janvier 2015.

    Publié le : 02/02/2015 | Auteur : Patrick Verspieren , Père jésuite, Centre Sèvres, Paris

  • La sédation en fin de vie au risque de la norme : la place de l’accompagnement

    "Faire le pari de l’accompagnement, c’est aussi parier sur le sens de l’expérience vécue, du temps consacré non pas à une quantité de soins mais à une qualité de relation. Car ce n’est que dans cette relation que pourra être écoutée et analysée la demande de sédation et qu’ensemble, dans cette alliance entre malade et soignant pourra se faire un cheminement vers un possible ou un impossible à vivre ces derniers temps de la vie."

    Publié le : 04/05/2015 | Auteur : Alice Béchu , Psychologue clinicienne, Équipe mobile de soins palliatifs, Centre Gérontologique Départemental, Marseille

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