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  • Regard d'un scénariste sur les valeurs

    " Mais la mémoire est tragiquement soluble dans le doute et dans la peur. Ne nous y trompons pas, l'illusion sera de courte durée. Nous sommes les scénaristes et les réalisateurs de notre propre histoire."

    Publié le : 08/01/2016 | Auteur : Stéphane Brizé , Réalisateur de cinéma

  • Auprès des migrants à Calais, l’intervention de Gynécologie sans frontières

    Patrice Dubosc raconte sa rencontre avec Gynécologie Sans Frontières dans la Jungle de Calais en janvier 2016. Reportage exclusif.

    Publié le : 23/02/2016

  • La tolérance suffit-elle ?

    Texte de l'intervention de Paul-Loup Weil-Dubuc lors du Forum Valeurs de la République, du soin et de l'accompagnement du 16 mars 2016

    Publié le : 18/03/2016 | Auteur : Paul-Loup Weil-Dubuc , Responsable du Pôle Recherche, Espace de réflexion éthique Ile-de-France, laboratoire d'excellence DISTALZ

  • Lanceurs d’alerte : la légitime vigilance des citoyens

    "En un mot, chaque fois qu’un lanceur d’alerte révèle un secret impliquant l’intérêt général, un même problème se pose : celui de la propriété sociale de l’information, c’est-à-dire qui a le droit de savoir quoi à quel sujet ?"

    Publié le : 24/03/2016 | Auteur : Albert Ogien , Sociologue, directeur de recherche au CNRS, CEMS-IMM EHESS

  • Tolérance : brèves remarques sémantiques et politiques

    Armelle Debru propose un éclairage étymologique et philosophique sur la notion de tolérance. Elle souligne le caractère politique de la frontière mouvante entre le tolérable et l’intolérable, lié à la question de qui donne le droit de s’exprimer en termes de tolérance et d’intolérance.

    Publié le : 30/03/2016 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : rupture ou continuité ?

    "La loi du 22 avril 2005 poursuivait principalement deux objectifs[11]. Elle proscrivait l’obstination déraisonnable et avait institué une procédure collégiale et transparente des arrêts de traitement. Peut-on considérer dès lors que ces choix ont été remis en cause par la loi du 2 février 2016 et que la philosophie qui l’animait a été abandonnée? Dans un domaine qui admet peu les raccourcis simplistes et les raisonnements binaires, cette question appelle une réponse nuancée."

    Publié le : 18/05/2016 | Auteur : Yves-Marie Doublet , Chargé d’enseignement en droit, Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • Les dispositions réglementaires d'application de la loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie

    Deux décrets du 3 août 2016 définissent les modalités d'application de la loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie. Ils encadrent les décisions médicales en fin de vie relatives aux arrêts de traitement et à la sédation profonde et continue jusqu'au décès. Le contenu, la durée, la portée et les modes de conservation des directives anticipées font l'objet de nouvelles règles. Les décisions d'arrêt de traitement et de sédation profonde et continue jusqu'au décès obéissent aux mêmes procédures de collégialité. La formation des professionnels de santé à ces nouvelles dispositions et une large information seront essentielles pour garantir une bonne application de ces textes.

    Publié le : 06/01/2017 | Auteur : Yves-Marie Doublet , Chargé d’enseignement en droit, Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • Une fois encore, un infirmier s’est suicidé : les valeurs du soin doivent être reconnues

    Dans la nuit du 5 au 6 février 2017, un infirmier s’est suicidé à l’Hôpital européen Georges Pompidou.

    Publié le : 09/02/2017 | Auteur : Espace éthique/IDF

  • Penser ensemble les valeurs engagées de nos institutions

    "La démarche que nous proposons vise à susciter - ou du moins à aviver - une dynamique de la réflexion partagée. Elle est devenue indispensable à l’heure où la médicalisation ou « l’institutionnalisation », souvent par défaut, de questions de société tout autant qu’une approche essentiellement gestionnaire des choix, pourraient inciter à se désapproprier de la culture du soin comme de celle de l’accompagnement, et ce faisant à déserter le champ des valeurs et à renoncer aux responsabilités dont il nous faut être les garants."

    Publié le : 15/02/2017 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Entrée en vigueur du "droit à l'oubli" pour les anciens malades

    Les nouveaux droits relevant du "droit à l'oubli" sont entrés en vigueur le mardi 14 février 2017, avec la mise en application du décret du 13 février précisant les modalités d'information des candidats à l'assurance-emprunteur lorsqu'ils présentent du fait de leur état de santé ou de leur handicap un risque aggravé.

    Publié le : 16/02/2017 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

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