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  • Le consentement, concept siamois ? A propos de la triple greffe mains et face

    Réflexion sur les implications du terme "consentement", de ses différentes formes (consentement du patient ou du médecin ?) autour de la triple greffe (visage et mains) du Professeur Lantieri.

    Publié le : 18/05/2009 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • La situation de pénurie d’organes et le refus des familles

    Avec un taux de refus persistant de 30% des familles de donner les organes de leurs proches, et un contexte de pénurie, plusieurs questions émergent sur le rôle et l'image même de la greffe. Participe-t-elle d'une vision du corps-objet ? Peut-on, sur ces questions, appliquer un modèle de réflexion économique ?

    Publié le : 31/07/2009 | Auteur : Damien Blumenfeld , Comédien, ancien documentaliste de l'Espace éthique/AP-HP

  • La journée de la bioéthique à Henri IV

    Retour sur la journée 2 juin 2018 organisée au Lycée Henri-IV, en présence du Pr Emmanuel Hirsch, du Pr Jean-François Delfraissy et de Mme Geneviève Delaisy de Parseval

    Publié le : 13/07/2018 | Auteur : Cristina Poletto-Forget , Professeure agrégée de philosophie au lycée Henri IV, Paris

  • "Réparer les vivants" : un cœur en partage

    Puissant et contrasté, le film de Katell Quillevéré, inspiré de l’ouvrage de Maylis de Kerangal, nous immerge dans l’insouciance de trois adolescents vite interrompue par un accident de voiture, dans lequel Simon perdra la vie, et dans la question du don d’organes posée à des proches accablés par la brutalité de cette disparition d’un enfant promis à un bel avenir.

    Publié le : 22/02/2017 | Auteur : Monique Charron , Rédactrice médicale et chroniqueuse culturelle

  • Faire le bien en visant le moindre mal

    S’ils acceptent, prélever les organes et les tissus parce que les proches nous en donnent l’autorisation ne me paraît pas plus légal que d’accepter de ne pas prélever quand les proches s’y opposent. Le corps des défunts n’appartient ni aux proches ni aux familles.[...] En faisant reposer, en pratique, la décision de prélèvement sur les proches de la personne décédée, notre législation ne garantit pas que la volonté du défunt soit respectée.

    Publié le : 31/03/2015 | Auteur : Renaud Gruat , Médecin anesthésiste réanimateur, coordinateur de prélèvements d’organes et de tissus, Centre hospitalier René Dubos, Pontoise, enseignant à l’Espace de réflexion éthique région Ile-de-France

  • Pour un amendement éthique et légitime

    "Pour que le « qui n’a pas refusé officiellement consent » soit juste, il faudrait que la totalité des personnes soumises à la loi en ait connaissance. Le principe suivant lequel nul n’est sensé ignorer la loi, ne me semble pouvoir s’appliquer ici, dans une problématique aussi privée et délicate."

    Publié le : 31/03/2015 | Auteur : Philippe Barrier , Professeur de philosophie, Lauréat de l'Académie de Médecine, docteur en sciences de l’éducation, enseignant associé au Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • Le prélèvement Maastricht III en question

    "Les prélèvements dits « Maastricht III », parce qu’ils interviennent dans la majorité des cas à la suite d’une décision médicale d’arrêt de traitement, posent des questions d’ordre éthique particulièrement délicates. De fait, on ne peut, en cette matière, réaliser l’économie de la question d’un éventuel conflit entre l’intérêt de la personne mourante, gravement malade ou cérébrolésée et l’intérêt d’autrui, à savoir l’éventuel receveur."

    Publié le : 01/04/2015 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

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