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  • "Votre maman" : Quand les rôles s’inversent

    "Pas d’effets de manche, pas de théories mais une justesse de ton et d’émotion qui résonne à l’oreille des proches et des familiers de cette pathologie Ainsi épurée, la relation entre cette mère malade qui ne reconnaît pas toujours son fils et cet aidant qui agit en gardien des intérêts de sa mère face à une institution qui ne sait qu’appliquer le règlement est saisissante de vérité."

    Publié le : 15/06/2017 | Auteur : Monique Charron , Rédactrice médicale et chroniqueuse culturelle

  • 60 ans après le procès des médecins de Nuremberg - Le devoir de vigilance

    "Nous n'avons pas retenu le message que se sont efforcés de nous transmettre - avec tant de douleurs et d'émotion - les témoins et les juges réunis en 1947 à Nuremberg. Non seulement pour condamner la barbarie des exactions commises par des médecins et des scientifiques allemands - souvent mondialement réputés -, mais pour rappeler et préserver les principes d'une approche respectueuse et juste de la personne dans ses rapports avec la recherche biomédicale."

    Publié le : 10/05/2007 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • A comme... accès

    "Accès aux soins", "accès au dossier médical", "accès aux origines"… Le droit a multiplié la mention d’ "accès" souhaités ou même aménagés, sans pour autant que le but semble atteint. Pour éclaircir ce décalage, arrêtons-nous quelques instants sur la notion même d’"accès".

    Publié le : 03/03/2011 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • A propos de la dévalorisation par les mots dans la maladie d'Alzheimer

    A la question de savoir si nous avons tendance à utiliser des termes plutôt négatifs, dévalorisants, dans le cadre de l’Alzheimer, plus que dans d’autres circonstances, la réponse est oui. On s’intéressera moins aux usages particuliers dans le cadre du soin, qui peuvent aller de la familiarité excessive à la violence verbale, qu’aux connotations contenues dans le langage officiel lui même, administratif ou médical: c’est-à-dire celui où n’intervient pas une intention personnelle, une réaction affective ou autre.

    Publié le : 03/03/2014 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • A propos de l’occultation de la mort

    "Dans nos sociétés la mort se vit intimement comme un échec, même la maladie devient délinquance au paradigme de la prévention."

    Publié le : 22/06/2023 | Auteur : Régine Benveniste , Psychiatre, psychothérapeute, Paris

  • A qui offrir aujourd’hui sa confiance lorsque l’on est vulnérable ?

    "À une époque où les liens affectifs sont si souvent remis en question, où les contours de « la » famille sont de plus en plus flous, à géométrie variable et d’une durée difficilement déterminable, le législateur va-t-il être contraint de « hiérarchiser » les droits de la famille et des proches à être obligatoirement informés et consultés ? Quelle parole sera prioritairement sollicitée et entendue dans cette hiérarchie kafkaïenne, celle d’une mère, d’une épouse ou de la dernière conjointe, de l’enfant biologique avant l’enfant juridique, des enfants d’un premier mariage, ou du second ? "

    Publié le : 30/06/2014 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • A quoi tenons-nous ?

    Publié le : 07/05/2020 | Auteur : Anne-Lyse Chabert , Philosophe, Département de recherche en éthique, Espace éthique région Île-De-France

  • Abolition des limites et perte d'identité

    "Quelles limites, responsabilités, soutiens peuvent-ils être garantis collectivement ? La perte des limites génère de nombreuses effractions psychiques et pertes de sens, et cela peut prendre une valeur traumatique. Il s'agit de refaire corps en soi et avec le social, avec l'équipe."

    Publié le : 14/04/2020 | Auteur : Apolline Launay , Psychologue clinicienne, Association AVENIR-APEI (accueillant des personnes porteuses de handicaps mentaux), 78

  • Accepter le diagnostic et ses conséquences dans la vie

    "Il faut du temps pour accepter le diagnostic, il faut du temps pour en accepter les conséquences mais pourtant nous savons que ce travail se déroule et que les malades peuvent évoluer dans le sens de l’acceptation. Certes, plus la maladie avance plus les capacités de pouvoir effectuer ce travail d’acceptation deviennent difficiles à mobiliser par le malade, tout au moins d’une manière spontanée. Mais finalement n’est-ce pas non plus un point commun qui rassemble tous les malades : ce besoin d’être aidé dans ce cheminement ?"

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Jean-Luc Noël , Psychologue Clinicien, Paris, Co-président du conseil scientifique de l’association Old Up, Psychologue référent de l’association ISATIS

  • Accepter ou refuser une proposition d’aide

    "Pour l’aidant familial, en particulier le conjoint, passer le relais à des professionnels c’est prendre le risque de faire disparaître définitivement le lien qui l’attachait encore à son conjoint malade, même si ce lien n’existe parfois plus que dans la souffrance."

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Judith Mollard-Palacios , Experte psychologue, Union France Alzheimer

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