Notre Newsletter
    Vous affichez les résultats de 11 à 20 sur un total de 22.
  • « Dites moi toute la vérité docteur »

    Qu'en est-il de la question du désir et de la possible vérité qui taraude la personne autant avant qu'après l'annonce diagnostique ? Question qui vient aussi interroger et mobiliser l'ensemble du système familial. Question qui habite ou qui hante les professionnels qui doivent y répondre car comme le dit Sigmund Freud : « La vérité se cache, elle ne se dit jamais toute. »

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Fabienne Ploskas , Psychologue clinicienne, Service de géronto-psychiatrie, Hôpital Bretonneau, AP-HP

  • Quelle politique pour les personnes en situation de handicap cognitif ?

    La maladie d'Alzheimer est encore souvent perçue comme une conséquence inévitable du vieillissement. Parler de "maladie" a, de ce point de vue, constitué un changement important : le fatalisme n’était plus de mise ; un effort de recherche était nécessaire. Il devenait concevable de soigner la maladie, ou à défaut de retarder sa survenue ou de ralentir son évolution. Sans revenir sur ces acquis, il convient aujourd’hui d’enrichir ce paradigme...

    Publié le : 25/11/2013 | Auteur : Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF

  • « Diagnostic précoce » : le droit de savoir a-t-il toujours un sens ?

    Les avancées biomédicales confèrent à nos sociétés un pouvoir d’anticipation sans précédent. À ce pouvoir de savoir qui n’implique pas toujours – loin s’en faut – un pouvoir d’agir, correspondrait un «droit de savoir (et de ne pas savoir)».

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Paul-Loup Weil-Dubuc , Responsable du Pôle Recherche, Espace de réflexion éthique Ile-de-France, laboratoire d'excellence DISTALZ

  • Et lorsque le diagnostic n'est pas précoce ?

    Réaliser le diagnostic de maladie d’Alzheimer pour un patient qui n’exprime pas spontanément de plainte cognitive et dont l’entourage n’a pas non plus de demande particulière n’est pas rare en gériatrie. Ces diagnostics ne sont pas précoces, mais ils ne sont pas pour autant trop tardifs. Ils sont des éléments décisionnels majeurs dans les choix thérapeutiques. Toutefois, ces situations pratiques nous interrogent fortement sur le plan éthique et notamment, de façon apparemment paradoxale, sur la notion même de diagnostic précoce.

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Olivier Drunat , Médecin gériatre, chef de service de neuro-psychogériatrie, Hôpital Bretonneau HUPNVS, AP-HP

  • Diversité d'itinéraires, d'acteurs, de termes, de probabilités et de temporalités

    L’itinéraire des premiers signes aux étapes des investigations cliniques puis de l’annonce est censé réduire les incertitudes et permettre l’intégration du diagnostic. Toutefois le discours des familles témoigne d’incertitudes qui limitent la valeur du diagnostic et sa capacité à susciter l’adhésion aux offres de soins à venir. Il s’agit d’examiner, dans la diversité des itinéraires et des rencontres possibles, ce qui participe à ce phénomène.

    Publié le : 03/10/2013 | Auteur : Pascal Antoine , Professeur de psychopathologie, laboratoire URECA EA 1059, Labex DISTALZ, université Lille 3

  • Ce que représente l'incertitude de l'évolution pour le patient et ses proches

    Si l’incertitude peut prolonger une angoisse, empêcher le sujet d’agir, le bloquer dans une dynamique existentielle, elle peut aussi laisser le temps de certains aménagements psychiques intégrant progressivement l’idée d’un futur possible avec la maladie tout en laissant place à un certain espoir, sans enfermer tout de suite dans un statut de malade. Comment accompagner le sujet dans ses interrogations, lui délivrer les informations dont il a besoin pour être acteur de son avenir ? À quel moment, pour répondre à quelles interrogations et avec quels objectifs ?

    Publié le : 03/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP

  • Maladie d'Alzheimer, ce que perçoivent les proches

    "Peut-être faut-il que la torture du doute devienne plus insupportable que celle de l'inquiétude pour passer le pas d'une démarche diagnostique ? Et le point de déséquilibre entre ces deux violences est propre à chacun d'entre nous."

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • La maladie d'Alzheimer des personnes jeunes

    "Environ 2 % des patients atteints de maladie d'Alzheimer ont moins de 65 ans. Ils nécessitent une approche diagnostique, une annonce diagnostique, une prise en charge médico-sociale et des aides spécifiques. "

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Florence Pasquier , Professeur de neurologie, université Lille 2, Centre national de référence pour les malades Alzheimer jeunes, CHRU de Lille, Labex DISTALZ / Michel Poncet , Neuropsychiatre, coordonnateur du CMRR PACA-Ouest de 2005 à 2008, président de l'Institut de la Maladie d'Alzheimer

  • Approche éthique en CMRR

    "Parmi les missions principales des Centres mémoires ressources il y a l'accueil des personnes malades dont le diagnostic est compliqué et celles désireuses de participer à la recherche. Si l'attente du diagnostic peut être pesante, elle doit permettre au malade et à ses proches d'être accompagnés sur le chemin de la découverte d'une nouvelle page de leur vie."

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Florence Lebert , Psychiatre, CMRR Lille/Bailleul

  • Alzheimer et le droit : le point de vue du médecin sur l'apparition et l'annonce de la maladie

    Intervention donnée dans le cadre du colloque "La maladie d'Alzheimer et le droit", organisé à l'Hôpital Européen Georges Pompidou (HEGP) le mercredi 28 novembre 2012, par l'Espace éthique Alzheimer et le laboratoire IRDA de l'Université Paris 13.

    Publié le : 02/08/2013 | Auteur : Joël Ankri , Professeur de santé publique et de gériatrie, chef de service, Sainte Périne, AP-HP, membre du Comité de suivi du Plan MND

  • Pages