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  • Les significations de l'attente et du soin

    Trop longtemps, le patient en tant que personne a été en grande partie, et assez paradoxalement, exclu du champ de la pratique médicale, ceci dans le souci de travailler à partir de critères objectifs. Il s'agissait alors, a-t-on dit, d'une médecine de la maladie plus que d'une médecine du malade qui en tant que sujet se trouvait donc négligé.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Christian de Maricourt , Médecin-chef, hôpital Maritime de Berck, AP-HP

  • Des soignants extrémistes de l'extrême

    "Soigner un patient en état végétatif persistant, signifie forcément se questionner sur des concepts existentiels qui prennent alors toute leur réelle dimension. D'où la nécessité d'une réflexion partagée au sein de l'équipe et de l'organisation d'un espace de parole. La réflexion se doit d'être insufflée par le cadre infirmier et le médecin responsable de l'unité de soins. Elle repose sur des valeurs partagées par les membres d'une équipe pluridisciplinaire."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Marie-Christine Guénin , Cadre supérieur infirmier, hôpital Maritime Berck, AP-HP

  • Partager notre espoir

    Témoignage d'une mère accompagnant son fils, dans un état végétatif persistant. Elle revient dans cet article sur la spécificité de l'accompagnement qui se lie dans ce type de situation.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Claude Girault , Mère d'Alban, malade en état végétatif persistant à l'hôpital Maritime de Berck, AP-HP

  • Ce que les soignants éprouvent

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Sophie Vandendriessche , Psychologue, hôpital Maritime de Berck, AP-HP / Virginie Morin , Orthophoniste, hôpital Maritime de Berck, AP-HP

  • Les familles de patients en état végétatif chronique ou pauci relationnel : la position reconnue des proches, un impératif éthique

    La pathologie EVC/EPR est en quelque sorte hors du commun. Elle ne s’inscrit pas dans un schéma classique évolutif: une période de soins qui déboucherait sur une amélioration attendue. Chez ces patients, de graves lésions cérébrales peuvent être à l’origine d’un coma. Ils sont sortis de celui-ci mais les blessures de leur encéphale sont définitives. Il faut donc affronter les proches avec ce verdict implacable: «pas vraiment mort, […] mais plus vraiment en vie.» (1) Les limites entre la mort et la vie semblent abolies. Le traumatisme familial lié à l’accident entraîne un déséquilibre familial majeur, un remaniement de tous les liens.

    Publié le : 19/09/2008 | Auteur : Nicolas Gegout , Psychologue, Unité EVC/EPR,  Clinique Korian, Canal de l’Ourcq, Paris

  • Trouble de conscience permanent et législation sur la fin de vie : l’incertitude comme boussole

    En somme, l’incertitude et le doute restent probablement les seules boussoles raisonnables de l’arrêt des thérapeutiques en réanimation chez ces patients souvent jeunes traumatisés, sans maladie sous-jacente, sans directive anticipée ni personne de confiance désignée.

    Publié le : 07/07/2023 | Auteur : Anne-Claire de Crouy , Médecin chef de service de médecine physique et de réadaptation, CMPA, Neufmoutiers / Jonas Pochard , Médecin Anesthésiste Réanimateur, département d’Anesthésie-Réanimation, Hôpital Bicêtre - APHP – Université Paris Saclay

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