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  • Laïcité et période festive dans les soins

    "Arrivée la fin de l’année l’établissement de santé où j’exerce, lieu de la prise en soin de l’accompagnement de l’enfant et de l’adulte polyhandicapé, célèbrent ces fêtes traditionnelles d’année en année. Au nom de quel principe, pourrions-nous priver de ce bonheur festif la personne en situation de polyhandicap ?"

    Publié le : 08/01/2016 | Auteur : Elisabeth Grimont-Rolland , Chef de service rééducation pédiatrique, Hôpital San Salvadour, AP-HP

  • L’éthique du soin au cœur des petites choses

    "Ces petites choses, comme ils nous disent, on les dit petites car elles sont non visibles, non mesurables. On parle de choses, car elles ne sont pas nommées, elles ne sont pas prescrites. C’est un geste, une parole, un silence, un sourire, une présence… Ce qui permet au patient de se sentir propre, de se sentir vivant, de se reconnaître, de garder confiance…"

    Publié le : 20/02/2014 | Auteur : Marie-Claude Vallejo , Cadre de santé, CHU de Toulouse, doctorante au Département de recherche éthique, université Paris Sud, auteure de Une approche philosophique du soin. L’éthique au cœur des petites choses, éditions érès

  • Annoncer la mauvaise nouvelle - Apport transculturel

    Dans le milieu traditionnel africain noir, la nouvelle grave est située dans la graduation de la souffrance du patient. L’évolution de la maladie, lorsqu’elle atteint un certain degré de gravité, alerte la communauté, en exige la présence. Cette présence s’accomplit selon une échelle de responsabilités réparties au sein du groupe. Mais qu’est-ce qu’une mauvaise nouvelle ?

    Publié le : 27/09/2013 | Auteur : Didier Ouédraogo , Professeur de philosophie, master Éthique, science, santé et société, Département de recherche en éthique, université Paris-Sud 11

  • Approche transculturelle de l'éthique biomédicale

    Il existe, d'emblée, un déséquilibre entre le soignant détenteur du pouvoir biomédical, et le soigné amoindri par sa maladie. L'appartenance du patient à une culture différente de celle de son soignant est de nature à apporter une distorsion supplémentaire à leur relation, voire à majorer le déséquilibre de puissance entre les deux parties.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Ali Chadly , Chef de service de médecine légale, droit et éthique de la médecine, hôpital universitaire de Fattouma Bourguiba, Monastir, Tunisie

  • Des rites pour se situer

    "Ce qui se déroule dans le monde ou dans son propre corps, l'homme cherche à le maîtriser, à l'apprivoiser, à lui donner du sens. Il peut s'y prendre de deux manières : techniquement (c’est ce dont s’occupe la médecine pour les événements biologiques) ou magiquement. Dans la seconde hypothèse, parallèlement à l'ordre cosmique, biologique ou social, il va construire un ordre rituel qui vient les doubler et relève entièrement d’une « construction » humaine."

    Publié le : 17/11/2005 | Auteur : Catherine le Grand-Sébille , Socio-anthropologue, maître de conférences, Faculté de Médecine Lille 2, membre du conseil scientifique de l’Observatoire Éthique et soins hospitaliers de l’AP-HP

  • La maladie et la manière d’être en Afrique noire

    Publié le : 26/09/2008 | Auteur : Didier Ouédraogo , Professeur de philosophie, master Éthique, science, santé et société, Département de recherche en éthique, université Paris-Sud 11

  • Liberté individuelle et responsabilités collectives dans la vaccination : approche éthique

    Publié le : 06/02/2012 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Respect et présence de l'autre

    "La recherche de la présence à l'autre et de la présence de l'autre constitue le tissu même de notre vie la plus quotidienne. Sans elle, nous serions enfermés dans une errance solitaire, synonyme de détresse et de mort. Elle anime notre vie familiale, notre vie de travail, notre vie de loisirs, notre vie intellectuelle et notre vie politique."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Bernard Matray , Rédacteur en chef de la revue Laennec, accompagnateur

  • L'accompagnement comme un devoir de civilisation

    "Le corps malade est [...] un corps bavard et pluriel ; la partie se manifeste alors comme séparée des autres : elle subsiste pour elle-même, se fige, et gêne cette fluide activité de l’organisme que nous désignions plus haut comme caractéristique de la bonne santé. La maladie entrave, appauvrit la vie sociale, et que dire lorsqu’il s’agit d’une maladie transmissible ou contagieuse ? Elle assigne à la nature. Parler avec le malade, c’est l’aider à entretenir cette flamme de l’esprit que la maladie tend parfois à étouffer, c’est tenter de le rapatrier dans ses droits et devoirs de citoyen : de cela, tout le monde est capable."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • L’idée de partage, un nouvel esprit éthique

    "Partager une joie, c’est transcender la vision d’une humanité divisée, fragmentée ; d’une humanité constituée d’individus atomisés jouant chacun pour soi sa partie ou son rôle sur la scène du théâtre social. Comme l’a montré en son temps Spinoza, partager c’est alors l’un par l’autre, dans cette union affective autant que rationnelle, amplifier le sentiment d’une commune humanité."

    Publié le : 16/05/2006 | Auteur : Dominique Lecourt , Philosophe, Président du Comité d’éthique de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), professeur de philosophie à l’Université de Paris 7, directeur du Centre Georges Canguilhem

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