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  • La mise en danger de la Cité

    "Dans la problématique de la pandémie, la logique commune de l’éthique et de la démocratie conseillent de penser la menace grippale selon le paradigme historique de la patrie en danger. Intégrer le parti pris éthique à une politique de prévention, c’est mobiliser les citoyens pour la défense d’une cité dont le salut garantit la reconnaissance de leur humanité et de leurs droits."

    Publié le : 08/09/2014 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Alzheimer : Respect de l'autonomie

    Comment une nouvelle présomption, de compétence cette fois-ci, pourrait-elle permettre de protéger et promouvoir l'autonomie des personnes atteintes par la maladie d'Alzheimer ?

    Publié le : 27/09/2013 | Auteur : Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF / Florence Latour , Gériatre, Groupe hospitalier Broca – La Rochefoucauld – La Collégiale, AP-HP

  • La négligence est-elle une violence ?

    L’homme moderne s’est libéré de ces liens nécessaires au sein d’une communauté comme on casse une chaîne. Ce n’est plus l’individu qui est au service du groupe mais le contraire. La collectivité s’est mise au service du bien-être individuel. Mais si l’individu moderne n’est plus lié aux autres, il lui est toujours possible de ne pas vouloir s’acquitter de sa dette.

    Publié le : 16/11/2005 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • La clinique en médecine : alliance des sens, de la raison et de l'humanisme

    "Grâce à l'examen clinique, le médecin appréhende l'homme dans le cadre élargi d'une anthropologie générale évitant les écueils réductionnistes du biologisme et du sociologisme, ou scientistes de la version moderne du positivisme. Le corps ne peut être délivré de ses maux à partir de lui seul, et il est nécessaire de dépasser le fonctionnement de la machine corporelle pour conquérir l'homme dans sa globalité et son environnement."

    Publié le : 19/06/2003 | Auteur : Francis Grimberg , Ancien attaché consultant des Hôpitaux de Paris

  • L'originalité du débat belge sur l'euthanasie

    Retour sur le débat autour de la légalisation de l'euthanasie en Belgique, avec un exposé des différentes positions et arguments politiques, sociétaux, culturels, religieux ou philosophiques

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Mylène Botbol-Baum , Professeure de philosophie et bioéthique, facultés de Médecine et des Sciences Philosophiques et Professeure à l'Unité d'éthique biomédicale UCL (Université Catholique de Louvain), Bruxelles

  • Liberté individuelle et responsabilités collectives dans la vaccination : approche éthique

    Publié le : 06/02/2012 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Hippocrate et les principes de la déontologie

    "En entrant dans la Cité, non seulement la médecine subit le changement des mentalités, mais y participe, basant son discours sur l'observation des faits. L'étiologie des maladies, ainsi que leur traitement, vont devenir rationnels, marquant ainsi la séparation de la médecine et de la religion."

    Publié le : 19/06/2003 | Auteur : Didier Rosenfeld , Kinésithérapeute, hôpital national de Saint-Maurice, diplômé de l'Institut éthique et soins hospitaliers, Espace éthique AP/HP

  • L'accompagnement comme un devoir de civilisation

    "Le corps malade est [...] un corps bavard et pluriel ; la partie se manifeste alors comme séparée des autres : elle subsiste pour elle-même, se fige, et gêne cette fluide activité de l’organisme que nous désignions plus haut comme caractéristique de la bonne santé. La maladie entrave, appauvrit la vie sociale, et que dire lorsqu’il s’agit d’une maladie transmissible ou contagieuse ? Elle assigne à la nature. Parler avec le malade, c’est l’aider à entretenir cette flamme de l’esprit que la maladie tend parfois à étouffer, c’est tenter de le rapatrier dans ses droits et devoirs de citoyen : de cela, tout le monde est capable."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • L’idée de partage, un nouvel esprit éthique

    "Partager une joie, c’est transcender la vision d’une humanité divisée, fragmentée ; d’une humanité constituée d’individus atomisés jouant chacun pour soi sa partie ou son rôle sur la scène du théâtre social. Comme l’a montré en son temps Spinoza, partager c’est alors l’un par l’autre, dans cette union affective autant que rationnelle, amplifier le sentiment d’une commune humanité."

    Publié le : 16/05/2006 | Auteur : Dominique Lecourt , Philosophe, Président du Comité d’éthique de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), professeur de philosophie à l’Université de Paris 7, directeur du Centre Georges Canguilhem

  • Hans Jonas : exercice de responsabilité et droit de mourir

    Comment la philosophie de Hans Jonas, notamment le "Principe responsabilité" nous permet-elle de mieux aborder la question du droit à mourir ?

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : David Smadja , Professeur de philosophie à l’Espace éthique, AP-HP

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