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  • Conduites éthiques dans la décision en hépato-gastro-entérologie

    Le patient d'aujourd'hui, mieux informé parce que souvent plus instruit que par le passé, et qui reste de plus en plus tard autonome et ambulatoire dans sa maladie, a-t-il la faculté de prendre seul la décision qui le concerne en hépato-gastro-entérologie ? Quelles questions le passage du paternalisme médical à l'autonomisme pose à cette spécialité ?

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Laurent Beaugerie , Gastro-entérologue, Praticien Hospitalier à l’AP-HP, Professeur des Universités à Paris 6, membre du Conseil National des Universités et vice-président de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie

  • Les défis posés par les maladies rares

    Dans le domaine de la maladie rare, la dictature du diagnostic est immense. Les malades en attendent la confirmation de leur maladie qui, tant qu’elle n’est pas objectivable dans leur corps est toujours entachée du soupçon de siéger dans leur âme.

    Publié le : 09/09/2010 | Auteur : Olivia Gross , Présidente de l'association française des dysplasies ectodermiques, présidente de la Fédération des Maladies Orphelines (2005 à 2009)

  • Grands prématurés : enjeux éthiques de la décision en néonatologie

    "Doit-on laisser mourir les enfants nés très prématurément, sous prétexte qu'ils ont un risque de survivre handicapé ? Une telle abstention ne s'apparente-t-elle pas à un meurtre par omission ? Et si l'on fait ce choix, comment définir le niveau de risque, le niveau de handicap qui, a priori, autoriserait de ne rien tenter pour sauver ces nouveau-nés ? Peut-on laisser survivre malgré tout ces enfants, ou doit-on arrêter les soins qui leur sont prodigués, c'est-à-dire arrêter leur vie ?"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Michel Dehan , Chef de service de pédiatrie et de réanimation néonatale, hôpital Antoine-Béclère, AP-HP

  • L'information sur la douleur communiquée aux enfants dans le cadre de la douleur chronique ou répétée

    Les pièges du déni de douleur sont encore à l'œuvre aujourd'hui chez les soignants comme d'ailleurs parfois chez les parents. Humiliation pour l'enfant de s'entendre dire : « C'est normal que tu aies mal… », phrase qui ignore et minimise la souffrance. On observe encore une conception qui a été qualifiée de “révisionniste” : « Ce n'est pas si grave ; ça ne fait pas si mal ; ce n'est rien ; c'est fini ; c'est un enfant douillet…»

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Elisabeth Fournier-Charrère , Médecin, Unité Douleur, Département de pédiatrie, CHU de Bicêtre / Jean-Paul Dommergues , Service de pédiatrie, CHU Bicêtre, AP-HP

  • L'originalité du débat belge sur l'euthanasie

    Retour sur le débat autour de la légalisation de l'euthanasie en Belgique, avec un exposé des différentes positions et arguments politiques, sociétaux, culturels, religieux ou philosophiques

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Mylène Botbol-Baum , Professeure de philosophie et bioéthique, facultés de Médecine et des Sciences Philosophiques et Professeure à l'Unité d'éthique biomédicale UCL (Université Catholique de Louvain), Bruxelles

  • Une démarche éthique des réanimateurs

    "Ces décisions difficiles ne sauraient en aucun cas s'affranchir de la responsabilité directe décisionnelle du médecin en charge du patient et de l'avis des soignants impliqués. Laisser à penser que le recours systématique à l'expert extérieur quelle que soit sa fonction s’imposerait (médecin, soignant, éthicien, juriste) traduirait une regrettable confusion entre limitation et arrêt des traitements, et euthanasie."

    Publié le : 17/11/2005 | Auteur : Christian Richard , Chef de service de réanimation médicale, CHU Bicêtre, AP- HP, président de la Société de réanimation de langue française

  • Expérience réunie en tant que médecin officiel et membre de la Commission nationale suisse d’éthique

    Un médecin suisse aborde sur la législation helvétique sur le suicide assisté et l'euthanasie ainsi que les problématiques juridiques, éthiques et morales qui émergent de ces situations.

    Publié le : 14/03/2012 | Auteur : Jean Martin , Médecin de santé publique, membre de la Commission nationale suisse d’éthique et du Comité international de bioéthique de l’UNESCO

  • L'urgence médicale : droit et éthique

    Tout semble justifier une définition de l'urgence éminemment contingente, telle une excuse absolutoire. Les professionnels de la médecine peuvent-ils pour autant s'exonérer de toute responsabilité juridique et de tout devoir éthique en raison de l'urgence ? Cette exonération est-elle susceptible de couvrir tous les domaines de nature à mettre en jeu les responsabilités médicales ?

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Alain Garay , Avocat à la Cour d’appel de Paris

  • L'accompagnement comme un devoir de civilisation

    "Le corps malade est [...] un corps bavard et pluriel ; la partie se manifeste alors comme séparée des autres : elle subsiste pour elle-même, se fige, et gêne cette fluide activité de l’organisme que nous désignions plus haut comme caractéristique de la bonne santé. La maladie entrave, appauvrit la vie sociale, et que dire lorsqu’il s’agit d’une maladie transmissible ou contagieuse ? Elle assigne à la nature. Parler avec le malade, c’est l’aider à entretenir cette flamme de l’esprit que la maladie tend parfois à étouffer, c’est tenter de le rapatrier dans ses droits et devoirs de citoyen : de cela, tout le monde est capable."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • Le statut trop obscur de la maladie d'Alzheimer

    L'auteur de ce texte de 2000, psychosociologue, dresse un état des représentations entourant la maladie d'Alzheimer auprès des soignants et de la population.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Jocelyne Extra , Consultante psychosociologue

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