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  • Fin de vie : l’épreuve du sens

    "L'agonie peut avoir du sens si elle permet à celui qui meurt de terminer son chemin comme il l'entend ; elle a du sens dans ce qu'elle permet de dire qui n'a jamais pu l'être, de vivre jusqu'au bout de la vie, de penser ces instants comme les derniers : ceux qui vont permettre d'apprivoiser l'absence quand le chagrin se fera moins envahissant."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Geneviève Demoures , Psycho-gériatre, chef de service, Le verger des Balans / Luc Rivière , Responsable de l’USP et de l’EMASP, Centre hospitalier de Périgueux

  • Grands prématurés : enjeux éthiques de la décision en néonatologie

    "Doit-on laisser mourir les enfants nés très prématurément, sous prétexte qu'ils ont un risque de survivre handicapé ? Une telle abstention ne s'apparente-t-elle pas à un meurtre par omission ? Et si l'on fait ce choix, comment définir le niveau de risque, le niveau de handicap qui, a priori, autoriserait de ne rien tenter pour sauver ces nouveau-nés ? Peut-on laisser survivre malgré tout ces enfants, ou doit-on arrêter les soins qui leur sont prodigués, c'est-à-dire arrêter leur vie ?"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Michel Dehan , Chef de service de pédiatrie et de réanimation néonatale, hôpital Antoine-Béclère, AP-HP

  • L'originalité du débat belge sur l'euthanasie

    Retour sur le débat autour de la légalisation de l'euthanasie en Belgique, avec un exposé des différentes positions et arguments politiques, sociétaux, culturels, religieux ou philosophiques

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Mylène Botbol-Baum , Professeure de philosophie et bioéthique, facultés de Médecine et des Sciences Philosophiques et Professeure à l'Unité d'éthique biomédicale UCL (Université Catholique de Louvain), Bruxelles

  • Une démarche éthique des réanimateurs

    "Ces décisions difficiles ne sauraient en aucun cas s'affranchir de la responsabilité directe décisionnelle du médecin en charge du patient et de l'avis des soignants impliqués. Laisser à penser que le recours systématique à l'expert extérieur quelle que soit sa fonction s’imposerait (médecin, soignant, éthicien, juriste) traduirait une regrettable confusion entre limitation et arrêt des traitements, et euthanasie."

    Publié le : 17/11/2005 | Auteur : Christian Richard , Chef de service de réanimation médicale, CHU Bicêtre, AP- HP, président de la Société de réanimation de langue française

  • Tous égaux dans la souffrance : la position des Pays-Bas en matière d'euthanasie

    "La loi [sur l'euthanasie aux Pays-Bas] n'offre aucune solution aux personnes qui souffrent de façon insupportable et sans perspective d'amélioration mais qui, pour différentes raisons, n'entrent pas dans son champ. Je veux parler des nouveau-nés souffrant de malformations graves, des patients atteints de psychoses inguérissables, des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer qui, de par la nature même de la maladie, sont considérées comme incapables d'exprimer leur volonté et par là même, exclues du champ de la loi. Une autre catégorie de personnes est venue s'ajouter à cette liste, je veux parler des personnes très âgées qui estiment avoir suffisamment vécu. N'est-il donc pas possible d'envisager une forme satisfaisante d'interruption de la vie pour ces personnes?"

    Publié le : 02/02/2006 | Auteur : Else Borst-Eilers , ancienne ministre de la Santé, du Bien-être et des Sports (de 1994 à 2002), vice-présidente du Conseil de la Santé (de 1985 à 1994) et de la Commission Remmelink

  • Expérience réunie en tant que médecin officiel et membre de la Commission nationale suisse d’éthique

    Un médecin suisse aborde sur la législation helvétique sur le suicide assisté et l'euthanasie ainsi que les problématiques juridiques, éthiques et morales qui émergent de ces situations.

    Publié le : 14/03/2012 | Auteur : Jean Martin , Médecin de santé publique, membre de la Commission nationale suisse d’éthique et du Comité international de bioéthique de l’UNESCO

  • La décision face aux situations du grand âge

    "L'apport de la médecine palliative a été incontestablement majeur au cours de notre cheminement d'équipe. Parce que nous n'étions plus condamnés à choisir entre l'acharnement thérapeutique jusqu'au bout, le vide angoissant ou l'arrêt des soins avec les inévitables sentiments d'impuissance et de culpabilité qui s'y associent. Parce que nous avions enfin d'autres soins à proposer à ces patients en fin de vie. Parce que nous pouvions soulager leurs souffrances, celles de leur famille mais aussi la nôtre."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Renée Sebag-Lanoë , Chef de service de gérontologie et de soins palliatifs, hôpital Paul Brousse, AP-HP

  • Considérations éthiques du soignant face à l'enfant qui peut mourir

    "Un service de pédiatrie qui soigne des enfants qui peuvent mourir n’est pas forcément triste. Car les enfants peuvent également y guérir et si la mort y est présente, elle n’y fait pas forcément la loi. Les soignants qui y travaillent ont, en général, choisi de le faire mais ceci ne les préserve pas des risques d’usure. Nous présenterons à quelles conditions un tel service peut rester un lieu vivant et humain pour les enfants, leurs parents et leurs soignants."

    Publié le : 16/07/2003 | Auteur : Daniel Oppenheim , Psychanalyste et psychiatre

  • Droits des malades en fin de vie et neuroéthique

    Intervention du Professeur Louis Puybasset dans le cadre de la série d'auditions menée par l'Assemblée Nationale autour de l'"affaire Chantal Sébire". L'auteur y défend une position défavorable à une modification de la loi du 22 avril 2005, présente les spécificités des patients cérébrolésés dont il a la charge et, enfin, propose des pistes d'amélioration de la culture palliative en France.

    Publié le : 20/10/2008 | Auteur : Louis Puybasset , Professeur de médecine, Neuro-réanimation Chirurgicale Babinski, Département d'Anesthésie-Réanimation, Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP, université Pierre et Marie Curie, Paris 6

  • L’euthanasie d’Hugo Claus en Belgique : enseignements et questions

    "Par une étrange ironie de l’histoire, le 19 mars 2008, jour de la mort de Chantal Sébire par ingestion massive de barbituriques, l’écrivain Hugo Claus était euthanasié à l’hôpital Anversois Middelheim. Une amie, qui était à ses cotés, raconte qu’il est parti tranquille, un verre de champagne à la main."

    Publié le : 23/05/2008 | Auteur : Louis Puybasset , Professeur de médecine, Neuro-réanimation Chirurgicale Babinski, Département d'Anesthésie-Réanimation, Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP, université Pierre et Marie Curie, Paris 6

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