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  • Fragilité, dépendance, attente et dignité au grand âge - Les multiples visages de la fin de vie

    "Il est nécessaire que des médecins et des soignants formés à une telle médecine qui est en train de se réinventer aujourd’hui comme on le voit autour des personnes âgées fragiles alimentent la réflexion citoyenne dans une société où prévaut encore une large phobie de la mort et où tendent à se généraliser des qualifications hâtives d’indignité."

    Publié le : 30/03/2015 | Auteur : Daniel Dreuil , Médecin gériatre, délégué au lien Ville-Hôpital, CHRU de Lille

  • Jusqu’au terme de la vie: le devoir de confiance

    "Nous avons besoin avant tout d’avoir confiance : confiance dans la formation, la compétence, la déontologie et l’éthique des professionnels soignants. Savoir que nous n’avons rien à craindre, ni dans l’excès ni dans l’abandon."

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Le temps des cerises

    "Un jour M. Z m'a dit : « Je veux ces moments moi, parce que même si c'est très furtif, c'est pour moi ici le seul moyen de me rappeler maintenant que mon corps, ce corps-là, m'a rendu très heureux et, parce que j'étais bien dans mon corps, j'ai pu savourer toutes choses : le soleil, la mer, le désert, la danse, les amis, la clope, les bistros, l'amour… Lorsque vous me massez, je peux me réconcilier avec ce corps qui se décharne"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Agnès Contat , Psychomotricienne, psychothérapeute, hôpital Pasteur, Paris

  • Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : rupture ou continuité ?

    "La loi du 22 avril 2005 poursuivait principalement deux objectifs[11]. Elle proscrivait l’obstination déraisonnable et avait institué une procédure collégiale et transparente des arrêts de traitement. Peut-on considérer dès lors que ces choix ont été remis en cause par la loi du 2 février 2016 et que la philosophie qui l’animait a été abandonnée? Dans un domaine qui admet peu les raccourcis simplistes et les raisonnements binaires, cette question appelle une réponse nuancée."

    Publié le : 18/05/2016 | Auteur : Yves-Marie Doublet , Chargé d’enseignement en droit, Département de recherche en éthique, université Paris Sud