Notre Newsletter
    Vous affichez les résultats de 1 à 4 sur un total de 4.
  • Faire ce qu’il y a à faire

    "Quelques jours plus tard, un lundi matin, je suis rappelé au domicile de monsieur M. Sa femme me dit qu’il refuse de s’alimenter depuis trois jours, tout juste accepte-il de boire. Son état général s’est terriblement aggravé. Visiblement il a décidé d’en rester là."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Bruno Fron , Médecin généraliste, Paris

  • La relation équipe soignante-familles en fin de vie

    "Accompagner les familles confrontées à la proximité de la mort d'un de ses membres nous renvoie à la notion de communication, à la problématique du temps et à l'épreuve de l'impuissance."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Nicole Landry-Dattée , Médecin anesthésiste-réanimateur, à l’institut Gustave-Roussy de Villejuif / Christine Théodore , Médecin oncologue, Institut Gustave Roussy, Villejuif / Danielle Velardo , Cadre infirmier, Institut Gustave Roussy, Villejuif.

  • Sida : des soins intégrés

    "Comment s’y prend-on pour aborder et accompagner les derniers jours des personnes malades avec lesquelles, dans les services de soins traditionnels, on éprouve tant de difficultés ? Avec les patients, mais aussi avec les familles, avec le mythe de la morphine, avec la volonté parfois forcenée de certains médecins de se battre et de faire reculer les limites de la maladie… "

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Nadine Balcon , Cadre supérieur infirmier, hôpital Rothschild, AP-HP

  • Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : rupture ou continuité ?

    "La loi du 22 avril 2005 poursuivait principalement deux objectifs[11]. Elle proscrivait l’obstination déraisonnable et avait institué une procédure collégiale et transparente des arrêts de traitement. Peut-on considérer dès lors que ces choix ont été remis en cause par la loi du 2 février 2016 et que la philosophie qui l’animait a été abandonnée? Dans un domaine qui admet peu les raccourcis simplistes et les raisonnements binaires, cette question appelle une réponse nuancée."

    Publié le : 18/05/2016 | Auteur : Yves-Marie Doublet , Chargé d’enseignement en droit, Département de recherche en éthique, université Paris Sud