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  • Il y a tant de façons de « danser sa vie »…

    "J’ai mis longtemps à comprendre qu’il n’y avait finalement pas de lieu « où l’on devait être ». Il y avait certes des attentes sociales, pronostiquées par des connivences humaines de façon tacite ou pas. Tout cet apparat paraissait en réalité bien illusoire. Dans la vie, le plus important n’était pas le point d’arrivée, mais les pas, la route de vie pour y parvenir, laquelle était singulière à chacun d’entre nous."

    Publié le : 08/06/2015 | Auteur : Anne-Lyse Chabert , Philosophe, Département de recherche en éthique, Espace éthique région Île-De-France

  • L’annonce anticipée : interroger les intentions et les conséquences éthiques

    "Notre système nerveux est riche de plus de 80 milliards de neurones. Les maladies dites dégénératives évoluent dans cette richesse cellulaire bien longtemps avant de devenir cliniquement décelables. C’est là tout le drame de l’impuissance curative des neurologues. Nos traitements arrivent beaucoup trop tard."

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Nadine Le Forestier , Neurologue, Centre SLA Ile-de-France, docteur en éthique médicale, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, EA 1610, université Paris Sud

  • L’éthique du soin au cœur des petites choses

    "Ces petites choses, comme ils nous disent, on les dit petites car elles sont non visibles, non mesurables. On parle de choses, car elles ne sont pas nommées, elles ne sont pas prescrites. C’est un geste, une parole, un silence, un sourire, une présence… Ce qui permet au patient de se sentir propre, de se sentir vivant, de se reconnaître, de garder confiance…"

    Publié le : 20/02/2014 | Auteur : Marie-Claude Vallejo , Cadre de santé, CHU de Toulouse, doctorante au Département de recherche éthique, université Paris Sud, auteure de Une approche philosophique du soin. L’éthique au cœur des petites choses, éditions érès

  • L’identité à l’épreuve du temps dans la maladie neurologique dégénérative

    "La maladie d’Alzheimer provoquant d’importants troubles de la mémoire, ceux-ci entraînent-t-ils inévitablement des répercussions sur l’identité et sur le sentiment d’identité du patient ? Peut-on espérer rester soi-même lorsque notre mémoire tombe malade ?"

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Marie-Loup Eustache-Vallée , Philosophe, enseignante et membre de l’unité de recherche U1077, Inserm - EPHE – université de Caen/Basse-Normandie