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  • Euthanasie et sédation : de la maîtrise à la compréhension

    Désolidariser la demande d’euthanasie ou la sédation d’une réflexion globale sur la fin de vie conduit inéluctablement à un excès de simplification. Réduire cette réflexion, refuser d’entrer dans ses méandres, ses contradictions, ses implications historiques, sociales, morales, conduit rapidement à valider des attitudes contestables. L’objet de notre propos vise à présenter au médecin quelques bases permettant de mieux appréhender les problématiques de la fin de vie, selon une approche de médecine palliative. Introductif, à défaut de fournir des réponses définitives, il invite le lecteur à poursuivre sa réflexion.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Michèle-Hélène Salamagne , Médecin, ancien responsable d’une unité de soins palliatifs / Sylvain Pourchet , Médecin (Paris), ancien responsable de l’unité de soins palliatifs de l’hôpital Paul Brousse (AP-HP) et du Diplôme Universitaire d’accompagnement et soins palliatifs de l’université Paris Sud

  • Jusqu’au terme de la vie - Le devoir de confiance

    Publié le : 16/02/2010 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • La bonne mort en urgence

    Publié le : 19/04/2011 | Auteur : Claire-Marie Le Huu-Etchecopar , Infirmière, unité de soins de support, Bruxelles

  • Quelle démarche palliative initier en réanimation ?

    "La prise en charge des patients dans un environnement très technologique ne s’oppose en rien à ce qu’ils puissent bénéficier des dispositions de l’article premier de la loi du 9 juin 1999 et de l’article L. 1110-10 du code de la santé publique, introduit par la loi du 4 mars 2002, explicitement cité dans quatre des quinze de la récente loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie."

    Publié le : 17/11/2005 | Auteur : Jean-Michel Boles , Service de réanimation médicale et urgences médicales, hôpital de la Cavale Blanche –CHU de Brest ERCS « Éthique, professionnalisme et santé », département de sciences humaines et sociales, faculté de Médecine et des Sciences de la Santé, Université de Br

  • Corps et pratiques de soins en unité de soins palliatifs

    "Comment toucher le corps d'une personne dans le coma, prototype du corps-objet, en le considérant encore comme porteur d'une identité en construction et non comme vague témoignage d'un passé révolu auquel, certes, on rend un hommage respectueux ?"

    Publié le : 24/04/2006 | Auteur : Sylvain Pourchet , Médecin (Paris), ancien responsable de l’unité de soins palliatifs de l’hôpital Paul Brousse (AP-HP) et du Diplôme Universitaire d’accompagnement et soins palliatifs de l’université Paris Sud

  • Une fin de vie à domicile

    La pratique est là pour rappeler la singularité de la rencontre entre le patient, l'entourage et les professionnels dans ce processus dynamique à travers lequel chacun va participer, à la place qu'il occupe en un temps donné. Ces quelques éléments de réflexion s'insèrent dans cette démarche, à partir de l'expérience d'une assistante sociale en Hospitalisation à domicile intervenant avec une équipe pluridisciplinaire : infirmiers, aides-soignants, psychologue, ergothérapeute…

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Marie-Claude Fontan , Assistante sociale en hospitalisation à domicile, AP-HP

  • La réanimation, les soins palliatifs et la loi

    Publié le : 12/10/2011 | Auteur : Elie Azoulay , Professeur de réanimation médicale, CHU Saint-Louis, AP-HP

  • Les familles de patients en état végétatif chronique ou pauci relationnel : la position reconnue des proches, un impératif éthique

    La pathologie EVC/EPR est en quelque sorte hors du commun. Elle ne s’inscrit pas dans un schéma classique évolutif: une période de soins qui déboucherait sur une amélioration attendue. Chez ces patients, de graves lésions cérébrales peuvent être à l’origine d’un coma. Ils sont sortis de celui-ci mais les blessures de leur encéphale sont définitives. Il faut donc affronter les proches avec ce verdict implacable: «pas vraiment mort, […] mais plus vraiment en vie.» (1) Les limites entre la mort et la vie semblent abolies. Le traumatisme familial lié à l’accident entraîne un déséquilibre familial majeur, un remaniement de tous les liens.

    Publié le : 19/09/2008 | Auteur : Nicolas Gegout , Psychologue, Unité EVC/EPR,  Clinique Korian, Canal de l’Ourcq, Paris