Tout citoyen en situation de vulnérabilité a le droit d’être protégé des négligences et des violences qu’il ne peut faire cesser ni prévenir par lui-même - et tout particulièrement de celles qui émanent des personnes, services ou structures qui ont envers lui une responsabilité d’aide, d’accompagnement, de soin, de protection ou d’éducation. Mais pour que les maltraitances cessent, il faut que toutes les parties prenantes partagent un vocabulaire commun. Avoir une définition partagée de la maltraitance, commune à tous les publics quel que soit leur âge et la forme de leur vulnérabilité, est une nouveauté française inédite au plan international.
L’Espace de réflexion éthique d'Ile-de-France et la Commission nationale de lutte contre la maltraitance et la promotion de la bientraitance  vous proposent de découvrir ce nouveau vocabulaire, la démarche d'élaboration collective qui lui a permis de naître, et les suites opérationnelles qu'elle va rendre possibles pour tous : citoyens, professionnels, bénévoles, autorités publiques de l'action sanitaire et sociale, mais aussi forces de l'ordre ou militants associatifs.
 
Introduction et animation : Emmanuel Hirsch et Fabrice Gzil
Intervenantes :
Alice Casagrande, présidente de la Commission nationale de lutte contre la maltraitance et la promotion de la bientraitance
Gabrielle Chouin, conseillère principale d’éducation, formatrice académique à l’Education nationale, intervenante dans les structures de formation en protection de l’enfance, administrateur Repairs 94
Marie-Françoise Fuchs, présidente d’honneur de Old'Up
Noémie Nauleau, conseillère technique autonomie, OVE
Réalisation : Patrice Dubosc