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  • Demain, le temps du trépas nous sera-t-il compté lui aussi ?

    "Pour que l’établissement ne subisse pas une décote sur ce financement spécifique, le séjour devra être compris entre 4 et 12 jours, et vous êtes invités à ne pas mourir avant minuit ou après, dans le décompte de ces journées les mieux valorisées."

    Publié le : 02/10/2017 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Adapter les soins, apprivoiser l’incertitude : un travail collégial et collaboratif

    "Les décisions prises au décours d’une procédure collégiale ne préjugent pas d’une évolution univoque : elles nécessitent adaptation et humilité."

    Publié le : 09/03/2017 | Auteur : Danièle Lafaye , Cadre de santé Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux / Sylvie Preuilh , Inifirmière Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux / Bernard Paternostre , Médecin Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux

  • Imaginer un monde sans maladie : un rêve empoisonné ?

    « Google peut-il vaincre la mort ? » titrait le Time Magazine en 2013. A coup de révolutions techno-scientifiques comme le rajeunissement cellulaire, ou de règles de vie comme le « sans gluten », un monde sans maladie est l’horizon promis à tous comme un eldorado du XXIème siècle. Utopie ultime ou enfer pavé de bonnes intentions ? C’est le débat qui a eu lieu le 16 janvier 2017, entre le philosophe des sciences Léo Coutellec et Laurent Denizeau, enseignant-chercheur en sociologie et anthropologie à l'Université Catholique de Lyon.

    Publié le : 02/02/2017 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Tu ne tueras pas, ou « de la fraternité à la sollicitude »

    "Et c’est ainsi que des êtres humains, insensibles au visage d’autrui, à la chair d’autrui, minéralisés dans leur haine, ont brisé des vies humaines, des couples, des familles, des amis mais aussi tout le peuple des humains qui en France et dans le monde en a été bouleversé. De tels actes déchirent l’humanité et la rassemblent dans la souffrance."

    Publié le : 06/01/2016 | Auteur : Roger Gil , Professeur émérite de neurologie, Directeur de l’Espace éthique de Poitou-Charentes, CHU de Poitiers

  • Vincent et les autres, souvenirs d'un médecin

    "Les jeunes apprentis médecins que nous étions en 1964 n’aimions pas beaucoup être affectés dans le service, et ce pour une raison simple : ces comateux n’étaient pour ainsi dire jamais malades (quelque fois une diarrhée ou un début de bronchite, sans plus). Or l’ambition d’un carabin, c’est justement [d'apporter] la preuve de notre capacité médicale en formation. Cependant la question ne se posait pas d’arrêter les soins de nursing et la nutrition, car il était évident pour tous que ces comateux étaient des « vivants »."

    Publié le : 24/07/2015 | Auteur : Patrick Defontaine , Médecin retraité, Épinac (71360), spécialiste en anesthésie-réanimation et toxicologie clinique

  • Maladie neurodégénérative et approche de la fin de vie

    "II est important de s’interroger précocement sur la place et l’intérêt de la culture palliative dans le projet de soins de ces malades. Certaines équipes considèrent que les soins palliatifs peuvent trouver place dès l’annonce du diagnostic, d’autres les considèrent plus utiles lorsqu’apparaissent des signes d’aggravation pour aider à poser des questions sur le plan éthique et anticiper des situations complexes et des décisions difficiles."

    Publié le : 04/06/2015 | Auteur : Elisabeth Quignard , Médecin en gériatrie et soins palliatifs, Réseau régional Champagne Ardenne RéGéCAP

  • Fragilité, dépendance, attente et dignité au grand âge - Les multiples visages de la fin de vie

    "Il est nécessaire que des médecins et des soignants formés à une telle médecine qui est en train de se réinventer aujourd’hui comme on le voit autour des personnes âgées fragiles alimentent la réflexion citoyenne dans une société où prévaut encore une large phobie de la mort et où tendent à se généraliser des qualifications hâtives d’indignité."

    Publié le : 30/03/2015 | Auteur : Daniel Dreuil , Médecin gériatre, délégué au lien Ville-Hôpital, CHRU de Lille

  • Mourir en gériatrie à l’hôpital ?

    "Les services de gériatrie sont particulièrement concernés par les situations de fin de vie, que ce soit en court séjour, en soins de suite ou en soins de longue durée. Dans ces unités, les médecins et les soignants font de leur mieux pour accompagner les personnes en fin de vie, en évitant les souffrances et l’acharnement thérapeutique."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Christophe Trivalle , Médecin gériatre, CHU de Bicêtre, AP-HP

  • Mourir chez soi, en EHPAD

    "Face à la pathologie démentielle, la famille vit souvent une relation de deuil anticipé avec son patient. Celui-ci lui renvoie parfois l’image du mort à venir qu’elle peut attendre tout en en redoutant le moment. Alors en plaçant le malade dans ce statut de « mort vivant », [...], on peut en arriver à nier les possibilités de relation par trop de souffrance."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Geneviève Demoures , Psycho-gériatre, chef de service, Le verger des Balans

  • Respecter la singularité de la personne en psychiatrie

    "La fin de vie, en particulier dans le cadre de la « clinique » de la psychose, expose le patient plus encore à l’abandon de par sa vulnérabilité. Son existence, son mode d’être au monde est perturbé, attaqué dans son rapport à l’espace, au temps et à l’autre."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Emmanuel Scicluna , Cadre de santé, Clinique du Moulin Bruz (35), EA 1610, université Paris Sud

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